Le traitement d’images animées va connaître l’évolution qu’a connue l’informatique: de la machine isolée vers le réseau local, et maintenant à travers le réseau public.
Et on va donc retrouver les mêmes écueils: les studios de création et de traitement d’images animées ont adopté des standards de communication propres, profitant de l’absence de contraintes en site fermé:
- largeur de bande très élevée, pour éviter toute détérioration apparente dans un processus suivant;
- liaisons directes sans commutation intermédiaire.
La gageure: éloigner les machines sans introduire de contraintes nouvelles.
Il est nécessaire, si l’on veut ouvrir à un plus grand nombre d’acteurs l’usage des technologies numériques, de concentrer en des sites communs les investissements les plus lourds – c’est l’objectif du Centre d’archivage.
Une condition indispensable de son succès est que les utilisateurs distants en reçoivent un service de qualité identique à ce qu’ils attendraient de leurs propres machines locales, donc:
- bande passante identique
- pas de protocole de transport contraignant.